Carriedo assure que la position de Castilla y León dans l'accueil des mineurs migrants est la même depuis 2021

Le porte-parole du Conseil et Ministre de l'Economie et des Finances, Carlos Fernández Carriedoa défendu aujourd'hui que la décision sur l'accueil de 21 mineurs migrants non accompagnés cette année a été adoptée « en », « par » et « de Castilla y León » et que « personne » ne l’a pris au nom du gouvernement autonome. Par ailleurs, il a rappelé que c'est le Même position qui se maintient depuis 2021 et qui est partagée depuis par toutes les communautés, à l'exception de la baisse d'hier en Catalogne, dans le Conférence sectorielle sur l'enfance et l'adolescence, tenue à Ténérife.

Fernández Carriedo, qui a comparu à la fin de la réunion du Conseil de Gouvernement de ce jeudi, a précisé que la position du Conseil sur l'accueil des mineurs migrants a été fixée en Castille et León, a déclaré hier le président de Vox, Santiago Abascal, accuser le leader du PP, Alberto Nuñez Feijóopour forcer leurs communautés à accepter l'accord avec le gouvernement et provoquer la rupture des pactes gouvernementaux.

En ce sens, le porte-parole du Conseil a expliqué que la position défendue par le ministre de la Famille et de l'Égalité des chances, Isabelle Blanco, C'est ce qu'il a lui-même exprimé lors du Conseil de gouvernement de la semaine dernière. En outre, il a souligné que cela est « cohérent » avec ce que la communauté a défendu et convenu dans 2021, 2022 et 2023 donc cela continuera également dans cet exercice.

Il a ainsi souligné qu'elle repose sur la solidarité entre les communautés. « Il n'y a pas de meilleure contribution au projet espagnol que la solidarité entre les communautés », a déclaré le porte-parole du gouvernement régional, qui a ajouté qu'elle se fonde sur la Accord gouvernemental PP et Vox signé en mars 2022, qui, a-t-il rappelé, comprenait l'engagement en faveur d'une immigration « ordonnée » favorisant l'intégration sociale, culturelle et professionnelle de ces personnes.

Enfin, Fernández Carriedo a défendu qu'il n'y a pas de moyen plus utile pour réaliser cette intégration que tutelle tombe en faveur du Conseil, afin qu'il puisse l'assurer.