Valence commence la semaine avec embouteillages dans les principaux accès à la capitale de Túria et à la zone métropolitaine car de nombreuses routes sont encore impraticables et la restauration limitée des infrastructures déjà entreprise est principalement destinée à fournir des services aux équipes d'urgence.
Concrètement, les routes qui présentent les plus gros problèmes de circulation à 8h00 du matin selon la Direction Générale de la Circulation (DGT) sont :
- CV-30 à Paterna : 1 km de bouchons
- A-7 à Sagunt : 3 km de congestion
- V-31 à Silla : 6,5 km d’embouteillage
- V-31 à Horno de Alcedo: 3 km
- V-21 à Alboraia: 1 km
- A-23 à Gilet : 2 km
- A-7 aux Simetes (Manises) : 5,5 km
- V-30 à Quart de Poblet: 4 km
- V-30 à Horno de Alcedo: 3 km
- CV-35 à Lloma Llarga (Paterna): 3 km
- CV-35 à Coma (Paterna): 1,5 km
Le grandes artères de communication de la capitale de Túriade leur côté, sont également encombrés dès la première heure. Concrètement, les routes qui souffrent le plus de cette situation sont l'Avenida Pío XII, le Bulevar Sur, le Camino de Picanya et l'Avenida del Cid.
Plus de deux heures et demie pour un trajet d'à peine vingt kilomètres
Les accès à Valence par la V-31, affectés par des embouteillages toujours au petit matin, reviennent ce lundi à une fausse normalité avec des embouteillages de plusieurs kilomètres. Vous pouvez à peine avancer. Impossible. Des trajets qui durent habituellement une demi-heure seulement coûtaient hier plus de deux heures et demie. En plus de la réduction des voies dans les points de la piste Silla touchés par le débordement du ravin de Poyo, il y a eu le passage permanent des véhicules d'urgence. Des voitures de police locale de toutes les régions de la Communauté valencienne, à d'autres régions d'Espagne comme Mutxamel, Sant Vicent del Raspeig, Alicante… Mais aussi des véhicules, très nombreux en provenance des îles Baléares, avec des groupes électrogènes, des grues, de puissantes pompes à eau. extraction.
Des camionnettes des pompes funèbres, même une de la Direction générale de la justice, des brigades forestières, des pompiers de Séville, des camions Pavasal, des camions Global Omnium. Aussi bien dans la voie de gauche que sur l’accotement situé à droite. Tout un essaim de sirènes qui rappellent la dimension du drame. Ground Zero, depuis Massanassa jusqu'à presque l'entrée de la ville de Valence, continue d'être un entrepôt de voitures, de canapés et de meubles, des deux côtés. Avec quelques lampadaires également éteints au cours des dernières heures, probablement en raison de l'instabilité du terrain qui a obligé la Garde civile à restreindre davantage la circulation près de Benetússer.