L'Atlético se sacrifie contre Lille en seconde période pour se faire oublier et la vie en Ligue des Champions devient compliquée

Même si le Champions a changé de format, on peut désormais dire que le Athlétique Il est en passe de buter sur le même rocher, comme toujours ces dernières années. Une autre année, la phase de groupes, désormais une ligue, ambitionne de devenir un torture pour l'équipe de Simeone après la défaite (1-3), retour par Lille, la bête noire des équipes madrilènes, en Métropolitain. Après trois journées, les rouges et blancs sont désormais éliminés des 24 places donnant accès aux playoffs.

je n'ai pas fait l'expérience Siméonece qui en soi, et bien que cela puisse paraître paradoxal, pourrait être considéré comme une expérience. Deux latéraux, latéraux. Deux défenseurs centraux, des défenseurs centraux. Au milieu, roulement de tambour, trois milieux de terrain faisant ce qu'ils ont été toute leur vie. Et surtout, trois attaquants, qui donnent une continuité à ce qui a fonctionné lors de la dernière demi-heure face à Leganés pour revenir. Canonique 4-3-3, tout(s) en place.

Aucun ailier transformé en ailier. Pas comme des arrières latéraux agissant comme troisième défenseur central. Ni en tant que milieux de terrain faisant office de référence au sommet. Et la preuve, coïncidence ou causalitéchacun peut juger, ça a marché du premier coup. Et sans avoir à attendre longtemps pour voir les résultats.

Dès le premier jeu, l'équipe rouge et blanche pourrait en effet prendre l'avantage. Mais Sorlothqui est resté seul devant Chevaliera envoyé le ballon sur la touche, donnant un aperçu de ce à quoi allait ressembler leur jeu.

La deuxième fois, l'Atlético n'a plus prévenu. Ils ont appuyé en même temps Julian et Griezmannque pour cela les deux sont coupés du même tissu, et ça s'est mélangé Touréaidant par inadvertance l’Argentin. Et celui-là, seul devant Chevalieril l'a envoyée dans la cage avec toute la précision qui avait manqué au Norvégien quelques minutes auparavant.

Sorloth, a noté

Alors que l'équipe sudiste était présente après la sanction, mais sans applaudir en signe de protestation, le premier but a tempéré le moral du reste des tribunes et des joueurs eux-mêmes, et a permis au Athlétique gérez le choc comme vous le souhaitez pendant les prochaines minutes. Lille est venu gagner au Real Madrid la veille, mais pendant une bonne partie du match, il n'a guère dérangé ceux de Siméonequi n'a pas prolongé son avantage en première mi-temps en raison de son manque de vigueur devant le but. Et puis ils l'ont payé.

Parce que le Norvégien n'a pas été, justement, infecté par la délicatesse de définition de Julián. Et ses coéquipiers l'ont cherché et l'ont mis dans une assiette pour lui. Ou plus que ses pairs, Griezmannce qui l'a laissé seul à deux reprises devant Chevalier. Mais le numéro neuf les a envoyés dans les limbes, d'abord avec une tentative de tir de Vaseline directement dans les mains du gardien, puis avec un tir dans les nuages ​​dans la petite zone.

C'était facile pour l'équipe Siméoneà qui il ne manquait que le but. Giménez était également sur le point d'y parvenir, avec une tête à laquelle il a répondu Chevalier avec un arrêt. À cette époque, l’arrivée du second semblait être une question de temps (et de succès), mais le temps passait et l’avantage était encore minime. Et ainsi, à mi-chemin entre la chute et le rangement des vêtements, ce qui arrive habituellement dans ces cas a fini par arriver.

Jegrovadans un jeu isolé, a égalisé avec un tir que Giménez a dévié juste assez pour laisser la fuite d'Oblak dans le néant. Et quand il restait un quart d’heure, c’était le chaos total. Une agitation dans la zone rouge et blanche a entraîné un penalty en raison d'un contact minime de Koke qu'il a converti Jonathan Davidbouleversant le Métropolitain.

Et plus que cela, il l'a mis dans les arrêts de jeu, lorsqu'il a marqué le 1-3 final qui a envoyé l'équipe rouge et blanche sur la toile et les a laissés, même s'ils avaient le temps de se relever, très affectés en Ligue des Champions. Nouvelle année, nouveaux visages, mêmes problèmes. Et le Métropolitain, qui a écarté son équipe d'un coup de sifflet bruyant, a montré son épuisement de se retrouver à nouveau dans la même situation.

Fiche technique :

1 – Atlético de Madrid : Oblak; Molina (Giuliano, décédé 77), Witsel, Giménez, Galán (Reinildo, décédé 77); De Paul, Koke, Gallagher (Lino, décédé 77 ); Griezmann, Julián Álvarez ; Sorloth (Correa, décédé 65).

3 – Lille : Chevalier Touré (Diakité, d. 46), Mandi, Alexsandro ; Meunier, André, Mukau (Gomes, décédé 88), Gudmundsson ; Matias Fernández-Pardo (Sahraoui, décédé 88 ans), Bayo (Jonathan David, décédé 65 ans), Cabella (Zhegrova, décédé 16 ans).

Objectifs: 1-0, m.7 : Julián Álvarez. 1-1, m.60 : Zhegrova. 1-2, m.74 : Jonathan David, penalty. 1-3, m.89 : Jonathan David.

Arbitre: Marco Guida (Italie). Il a donné un carton jaune aux locaux Galán (m. 17), Giménez (m. 78) et Witsel (m. 89), ainsi qu'aux visiteurs Touré (m. 44) et Meunier (m. 78).

Incidents : Match correspondant à la troisième journée de Ligue des Champions disputé au stade Metropolitano devant 61 197 spectateurs.