La femme Zamoran qui a été arrêtée et violée par Manuel Martínez « El Quintas » en octobre 1997, il a obtenu une invalidité permanente après le Cour supérieure de justice de Castille-et-León a déclaré définitive la sentence prononcée en novembre de l'année dernière. Selon les conclusions présentées par l'organisme lui-même, la victime souffre « un trouble anxieux chronique » ce qui entraîne des « limitations pour les tâches à fort stress psychosocial ».
Selon l'avocat de la victime, ces conséquences se sont poursuivies depuis l'attaque, qui a eu lieu dans la zone riveraine de « Les Pisons » de la capitale Zamora. La femme, qui avait 30 ans au moment de l'attaque, a été surprise par « El Quintas », qui l'a menacée d'une arme et l'a violée. L'agresseur n'avait que quelques mois hors de prison après avoir purgé une peine pour un double meurtre commis en 1983. Il est à nouveau libre depuis 2017.
Justement, le rapport fait à la victime pour analyser son demande d'invalidité permanente Cela reflète également « une nouvelle accentuation des symptômes post-traumatiques » après la sortie de « El Quintas ». La nouvelle a provoqué chez elle « des comportements d'anxiété généralisée, d'hypervigilance, d'évitement, de fuite et des symptômes végétatifs », comme le montre le contexte factuel de la sentence prononcée par le Tribunal Supérieur de Justice de Castilla y León.
Ainsi, cette instance a rejeté l'appel du Sécurité sociale à la première résolution émise par un tribunal de Zamora. Comme l'explique elle-même la victime, « sonner à la porte ou trouver quelqu'un dans les escaliers provoque de l'anxiété, de la peur et de la terreur, voire des crises de panique, qui annulent toute activité et l'empêchent de sortir ».
Dans ces circonstances, la victime « ne peut exercer aucun type d'activité professionnelle », elle recevra donc une pension après la confirmation d'une condamnation qui « ouvre la porte » à ce type de réclamations, selon l'avocat de la femme, Zamora Rebeca. Vaquero.