Les négociations ne portent pas leurs fruits. Il Gouvernement n'est pas encore parvenu à conclure un accord avec ses partenaires de gauche de la Chambre pour faire avancer le projet d'impôt minimum mondial sur les multinationales, réclamé par le Union européennecompte tenu de l'absence d'accord sur l'extension des taxes sur bancaire déjà à énergique. A quelques heures du début de la commission des Finances, déjà reportée à deux reprises faute de majorité pour approuver le texte, ERC, EH Bildu et Podemos assurent qu'il n'y a pas d'accord sur la table. La seule solution envisagée est que la norme inclue uniquement la taxe sur les multinationales et l'élimination de la fraude aux hydrocarbures, tandis que le reste des mesures est promu dans un texte différent.
A 17h00, et pour la troisième fois, le Commission des Financesoù l'Exécutif doit réunir une majorité parlementaire pour mettre en œuvre le projet de loi d'impôt minimum mondial sur les multinationales, qui est une transposition européenne, et dans lequel le ministère des Finances a tenté d'introduire autres mesures fiscales. Cependant, les intérêts contradictoires de ses alliés ont rendu impossible un accord commun. PNV et Junts ont convenu de prolonger la taxe bancairemais laissez tomber celui qui affecte l'énergie ; MRC, EH Bildu et Peut Ils souhaitent que les deux privilèges restent en vigueur.
L'absence d'accord a contraint le PSOE à annuler la commission à deux reprises pour éviter une défaite parlementaire. Pourtant, quatre heures avant le vote, il n’y a toujours pas d’accord. Des sources de l'ERC assurent qu'ils n'ont trouvé aucun accord avec les socialistes et d'EH Bildu soutiennent qu'il n'y a pas de nouvelles par rapport à la semaine dernière, lorsque les négociations ont échoué. Enfin, le co-porte-parole de Podemos, Pablo Fernándeza assuré ce lundi qu'il n'y a eu aucune conversation avec le PSOE ces derniers jours et qu' »en aucun cas » ils « soutiendront une loi qui vise à supprimer la taxe sur les entreprises énergétiques ».
La solution
Depuis la semaine dernière, et compte tenu de la difficulté de trouver un point commun entre tous les partenaires, le gouvernement a ouvert la porte à l'approbation du projet de loi uniquement avec les mesures exigées par l'Union européenne et avec un amendement qui permet de mettre fin à la fraude aux hydrocarbures. Toutes les formations semblent d'accord sur ces deux points. De plus, le PP a offert ses voix pour soutenir cette voie. Des sources d'ERC et d'EH Bildu y voient également une solution possible au conflit. De cette manière, le reste des mesures devrait être traité séparément, dans un autre texte législatif. Il faudra néanmoins attendre cet après-midi pour voir quelle voie le PSOE a choisi.